vendredi 27 mars 2009

Traducción de la entrevista



Gracias a TRADUCTOR VOILA.FR


A menudo silbados o abucheados los piqueros (picadors) quedan sólo verdaderos combatiendo de la arena. El oficio de piquero necesita una maestría total en equitación para saber dirigir un caballo en el momento del asalto de un toro.

El caballo llevado a la izquierda en el momento de la carga de un toro tal vez puso en el suelo más fácilmente, porque sufre entonces la carga del toro. Porque él se va en el sentido de la carga, mientras que debería oponerse a la carga.


Así como me lo aconsejó Philippe Heyral, hay que mirar atentamente la mano izquierda del piquero para ver si el caballo resiste o sufre la carga.

A quienes se puede ver en la actualidad esto a menudo son hombres quienes saben valorar sobre caballos y que logran colocar el puya sobre el toro. Pero los buenos jinetes son muy raros.

Gracias a Philippe heyral pude conocer de un piquero. Este piquero Rafael Arenas " Telera ", es bilingüe y esto me arregla yo que no conoce una palabra de español. Excepto que él causa inglés …. Y yo el inglés.

Pues él me dio su mail. Y gracias a los traductores en línea pude ponerle unas preguntas.


¿Buenos días, puedo tú decirme desde cuándo ejerces esta profesión?

Nací el 28 de febrero de 1981 en Algaba (provincia de Séville). Me hice picador muy joven, y comencé a entrenarme en 11 años, y a 13 toréais en festivales. Y desde siempre me entreno montando a caballo. Voy también a entrenarme en el gimnasio.


¿Cómo eres callado hecho Piquero?


Mi gran padre era un grande picador, Juan Aguilera «Niño de Algaba». Ahora él tiene 89 años y guarda grandes memorias de su época de picador, con Chicuelo II, Diego Puerta, Miguelin, Alfredo Leal hasta que se retire en 1974 con Jose Fuentes.

En 16 años me hice profesional gracias a la ayuda de mi abuelo que también hubo que picador y comencé a toréer en corridas y novilladas, en toda España, en Francia y en América …

Durante todo este tiempo tengo toréer mucho con toreros como Alvaro de la Calle, a Mario Coelho, El Cordobes, el Salvador Cortes, Joselito Adame …


¿Puedo tú explicarme cómo pasa la formación de un piquero?

Los piqueros se forman en el campo, montando a caballo, haciendo tendaderos con las becerras. Cuando llega el buen momento ellos comienzan a toréer novilladas y cuando hicieron 25 novilladas, les damos una «libreta de apuntes de picador de toros» con el cual pueden toréer corridas y novilladas.


Observé repetidas veces que poseías direcciones no "extravagantes " pero con motivos que se tiene no la costumbre de ver.
En cuanto al traje, me gusta estar bien vestido, y trato de tener chaquetillas diferentes de otros picadors. Tengo siete chaquetillas diferente.


¿Qué son tus ocupaciones aparte del contexto taurin?
Me gustan muchos de otras cosas aparte de mi trabajo, como jugar al piano (obras de Chopin y canciones de Queen) y jugar la guitarra. También gané unos concursos de billar francés, me gusta el flamenco, y también gané unos concursos como a un cantante …


¿Callaste aprehensiones particulares que concernían a ganadería de toros?

No hay un ganaderia que da miedo más que otro, porque todos los toros son peligrosos.


¿Tu opinión sobre los cuadras de caballos?

En España hay mucho cuadras de caballos, pero mí me gustan particularmente los cuadras franceses (Alain Bonijol y Philippe Heyral) porque tienen caballos muy manejables y bien levantados, lo que es importante en el momento de pinchar el toro.


¿El tercio de picos, en qué lugar preciso debemos pinchar? ¿y que piensas tú en la evolución de este tercio?
El mejor lugar para pinchar bien es justo detrás del cuello, entre ambos hombros, y un poco que deben para ayudarle a bajar la cabeza en el momento de embestir.


El actual tercio de varas es mucho degradado con respecto a las décadas anteriores cuando los picadors creaban mucho espectáculo.


¿Qué es tu plaza preferido?
El plaza más caro por mi corazón es Séville, pero me regalo mucho cuando yo torée en un plaza importante como Madrid, Barcelonne, Nîmes, Arles.

¿Tu torero preferido?
Mi torero preferido es Jose Tomas.

¿Qué son los maestros con los que tienes la costumbre de trabajar?
En 2008 tengo toréé quince veces en Francia, con Joselito Adame, Mehdi Savalli y Javier Cortes.


Para acabar me gustará agradecer todos los aficionados de los plazas franceses por el respeto que tienen hacia el picador, y que sobre todo se regalan con el suerte de la pica.


Gracias a Rafael, Isabelle, y Philippe.

Las fotos han sido hechas a santo Perdon y en Garlin.

dimanche 22 mars 2009

Rafael Arenas "Telera"


Souvent sifflés ou hués les piqueros (picadors )restent les seuls vrais combattant de l'arène. Le métier de piquero nécessite une maîtrise totale en équitation pour savoir diriger un cheval lors de l'assaut d'un toro.

Le cheval mené à gauche lors de la charge d'un toro peut-être mit au sol plus facilement, car il subit alors la charge du toro. Car il part dans le sens de la charge, alors qu’il devrait s’opposer à la charge.

Comme me l'a conseillé Philippe Heyral, il faut regarder attentivement la main gauche du piquero pour voir si le cheval résiste ou subit la charge.

Ce qu'on peut voir à l'heure actuelle c'est souvent des hommes qui savent tenir sur des chevaux et qui arrive à placer la puya sur le toro…. Mais les bons cavaliers sont très rares.

Grâce à Philippe heyral j'ai pu faire la connaissance d'un piquero. Ce piquero Rafael Arenas "Telera", est bilingue et ça m'arrange moi qui ne connaît pas un mot d'espagnol. Sauf qu'il cause anglais……. Et moi l'anglais….

Donc il m'a donné son mail. Et grâce aux traducteurs en ligne j'ai pu lui poser quelques questions.




Bonjour , peux tu me dire depuis quand tu exerces cette profession ?
Je suis né le 28 février 1981 à La Algaba (province de Séville). Je suis devenu picador très jeune, et j’ai commencé à m’entraîner à 11 ans, et à 13 je toréais en festivals. Et depuis toujours je m’entraîne en montant à cheval. Je vais aussi m’entraîner au gymnase.


Comment es tu devenu Piquero ?
Mon grand père était un grand picador, Juan Aguilera « Niño de la Algaba ». Maintenant il a 89 ans et il garde de grands souvenirs de son époque de picador, avec Chicuelo II, Diego Puerta, Miguelin, Alfredo Leal… jusqu’à ce qu’il prenne sa retraite en 1974 avec Jose Fuentes.

A 16 ans je suis devenu professionnel grâce à l’aide de mon grand-père qui fut également picador et j’ai commencé à toréer en corridas et novilladas, dans toute l’Espagne, en France et en Amérique…
Pendant tout ce temps j’ai beaucoup toréer avec des toreros comme Alvaro de la Calle, Mario Coelho, El Cordobes, Salvador Cortes, Joselito Adame…

Peux tu m'expliquer comment se passe la formation d'un piquero ?
Les piqueros se forment au campo, montant à cheval, faisant des tendaderos avec les génisses. Quand arrive le bon moment ils commencent à toréer des novilladas et quand ils ont fait 25 novilladas, on leur donne un « carnet de picador de toros » avec lequel ils peuvent toréer des corridas et des novilladas.

J'ai remarqué à plusieurs reprises que tu possédais des tenues pas "extravagantes" mais avec des motifs qu'on a pas l'habitude de voir.
En ce qui concerne le costume, j’aime être bien habillé, et j’essaye d’avoir des chaquetillas différentes des autres picadors. J’ai sept chaquetillas différentes.


Quelles sont tes occupations en dehors du contexte taurin ?
J’aime beaucoup d’autres choses en dehors de mon travail, comme jouer du piano (œuvres de Chopin et chansons de Queen) et jouer de la guitare. J’ai aussi gagné quelques concours de billard français, j’aime le flamenco, et j’ai aussi gagné quelques concours comme chanteur…

As tu des appréhensions particulières concernant des élevages de toros ?
Il n’y a pas une ganaderia qui fait plus peur qu’une autre, parce que tous les toros sont dangereux.

Ton avis sur les cuadras de caballos ?

En Espagne il y a beaucoup de cuadras de caballos, mais moi j’aime particulièrement les cuadras françaises (Alain Bonijol et Philippe Heyral) parce qu’elles ont des chevaux très maniables et bien dressés, ce qui est important au moment de piquer le toro.

Le tercio de pique, à quel endroit précis doit on piquer ? et que penses tu de l'évolution de ce tercio ?
Le meilleur endroit pour bien piquer est juste derrière le cou, entre les deux épaules, et un peu devant pour l’aider à descendre la tête au moment d’embestir.
L’actuel tercio de varas c’est beaucoup dégradé à l’égard des décennies antérieures où les picadors créaient beaucoup de spectacle.

Quelle est ta plaza préférée ?


La plaza la plus chère à mon cœur est Séville, mais je me régale beaucoup quand je torée dans une plaza importante comme Madrid, Barcelonne, Nîmes, Arles.

Ton torero préféré ?
Mon torero préféré est Jose Tomas.


Quels sont les maestros avec qui tu as l'habitude de travailler ?
En 2008 j’ai toréé quinze fois en France, avec Joselito Adame, Mehdi Savalli et Javier Cortes.


Pour finir j’aimerai remercier tous les aficionados des plazas françaises pour le respect qu’ils ont envers le picador, et qui surtout se régalent avec la suerte de la pique.


Merci à Rafael,Isabelle, et Philippe.
Les photos ont été faites à Saint Perdon et à Garlin.

lundi 16 mars 2009

Retro 1951 - Fêtes de la Madeleine


Lors de la madeleine de 1951 une boutique montoise distribuait de petits fascicules (quelques principes à l'usage des jeunes aficionados) qui expliquaient au public l'attitude à avoir lors d'une corrida.

Morceaux choisis :

Pour qu'une corrida se déroule dans une ambiance favorable, il est indispensable que les toreros aient l'impression de se trouver devant un public compétent.


Les piques : Sifflez impitoyablement le picador qui pique délibérément dans l'épaule ou en arrière du morillo sur la colonne vertébrale.
Sifflez également si il vrille.


La cape : sanctionner par votre silence le matador qui torée courbé, en remuant les pieds et en faisant passer le taureau loin de lui.

Les banderilles : n'applaudissez pas lorsque le banderillero sort en faux (c'est à dire passe sans planter). Neuf fois sur dix, c'est une faute.

La muleta : sifflez comme pour la suerte de cape, le matador qui travaille courbé, de loin et en dansant.
N'oubliez pas que le fait de mettre un genou en terre et chasser les mouches sur le mufle du taureau n'est pas méritoire. Gardez le silence


Tenez compte des conditions du taureau. Tous ne sont pas également nobles et faciles. Un travail sérieux fait devant un taureau difficile a plus de valeur que quelques passes exécutées devant un animal qui n'a aucune mauvaise intention.

Les cartels de cette année 1951 étaient :

22 juillet 1951 - 6 Toros d'Alvaro Domecq pour José Gonzalez « Pepe Dominguin » - Luis Miguel Gonzalez « Dominguin » - José Martorell

24 juillet 1951 - 6 Toros d'Hnos Escudero Calvo Luis Miguel Gonzalez « Dominguin » - Julio Aparicio - Miguel Baez « Litri »



la photo "Brindis d'Aparicio à Roger Larrey" issue du site => http://pagesperso-orange.fr/torosencasteljaloux/

lundi 9 mars 2009

Festival Taurin d'Arzacq Arraziguet -64-

Les arènes fermées et chauffées sont vraiment très bien pendant l'hiver.... Sauf pour ceux qui comme moi on manqués cruellement de lumière..

Ci dessous Julien Lescarret.



Ici Fernando Cruz


Francisco Marco



Mathieu Guillon





Et pour finir des photos de piques.





Très bonne présentation des toros de Môssieur Meynadier.... C'est très rare de voir des toros aussi bien présentés pour un festival taurin....

mardi 3 mars 2009

Nouveau Logo ???



Je vais faire un petit sondage pour savoir si ce logo vous plait....
Inspiré du Logo de la ville de Mont de Marsan, je souhaite marquer au fer rouge mon attachement à cette ville qui m'a vue naitre.