vendredi 26 mars 2010

CAMPOS Y RUEDOS BIENTOT LE FILM ?



Sous la pression des millions de fans qui consultent régulièrement ce merveilleux blog, ils ont cédés...

Ils l'ont fait ce putain de bouquin.

Ces photos ne pouvaient restées éternellement sur la toile, il fallait qu'elles glissent sur le papier.

Je n'ai vu pour l'instant que la couverture. Et il me tarde de le recevoir.

N'hésitez pas à le commander. Télécharger ce bon de commande ci dessous.

COMMUNICATION ORTHEZ

Le cartel de la corrida de la journée taurine des fêtes d’Orthez 2010 s’inscrira cette année dans la continuité de celui de 2009, sous le signe de l’originalité, de la simplicité et de l’authenticité.

Ces cartels reflètent les moyens nécessairement limités qu’imposent les ressources de notre plaza et notre volonté de conserver à celle-ci des tarifs populaires qui permettent l’accès à la tauromachie du plus grand nombre.

Il n’y aura donc pas de grands noms de figuras.

Pour autant, nous avons recherché les toreros qui pouvaient surprendre, les noms à découvrir ou à redécouvrir, les talents méconnus, et par dessus tout cette envie de toréer et de triompher qui conditionne le succès.

La bonne surprise a été le nombre considérable de postulants.

D’évidence le lot de Dolorès AGUIRRE intéresse nombre de toreros qui ont à cœur un succès devant ces toros de respect susceptibles de consacrer ou du moins de doper leur carrière.

Il a donc fallu choisir 3 toreros entre une vingtaine de prétendants.

Nous avons donc retenu 3 noms qui répondent à divers critères et peuvent par leur complémentarité satisfaire la diversité des attentes du public.



Ivan FANDIÑO est un torero d’expérience habitué aux toros de respect et qui connaît particulièrement bien les AGUIRRE.

Originaire de la région de Bilbao, c’est un guerrier au torero classique qui connaît des succès réguliers et saura imposer sa technique et son sang-froid.



Alberto LAMELAS a passé son alternative l’an dernier. Il avait laissé en novillada dans le sud-ouest le souvenir d’un garçon sincère, courageux et spontané, qui paye comptant et prend les plus grands risques. Alberto aura à cœur d’apporter aux banderilles la touche d’alegria qu’apprécient tant d’ortheziens.



Julien MILETTO constituera une autre surprise de la journée. Ce torero fin et subtil, pur produit de l’Ecole de Nîmes a été considéré, il y a cinq ans, comme le meilleur espoir français. Après son alternative à Nîmes en septembre 2003 (parrain El Juli, témoin, César Jimenez), Il a vécu le passage à vide et la traversée du désert qu’on connus nombre de toreros y compris les plus grands (souvenons-nous de Paco Ojeda…). Avoir le caractère pour se relever et repartir n’est pas donné à tout le monde. Julien sait que son avenir se jouera sur quelques corridas, et parmi celles-ci la corrida d’Orthez constitue l’enjeu personnel le plus important. Un enjeu qui sera décisif et lui permettra de se mesurer.

Julien introduira la note artistique sans laquelle le noble art de la tauromachie serait incomplet.


Notre journée taurine sera donc une aventure humaine pour trois jeunes hommes qui y investiront leurs espoirs et leurs rêves, et s’engageront parce que leurs rêves se réaliseront au prix des triomphes durement conquis.

Loin des caprices des stars, la vérité tauromachie c’est aussi cela.

Et c’est à cela qu’à Orthez nous sommes attachés.

Xavier KLEIN, président de la Commission Taurine

mardi 2 mars 2010

AIGNAN 2010


Voici donc la première corrida de l'année.

Javier Valverde fera ce jour là son 4e paseo dans les arènes d'Aignan.

Par contre ça sera une première pour Sergio Aguilar et Luis bolivar.









Les Toros :
Devise : Bleu et bordeaux
· Signe : « Hoja de higuera » à l’oreille droite,« Orejisana » à gauche
· Ancienneté : 7 Mai 2005
· Finca : « Rehuelga » - Benalup de Sidonia (CÁDIZ)
· Sang : Santa Coloma Saltillo - Buendia

Sur www.terredetoros.com

En 1996, l’héritage de Joaquín Buendía est partagé entre différents membres de la famille. Le problème réside dans le fait que les héritiers sont nombreux ; aussi, afin d’éviter une trop grande fragmentation de l’élevage, ces derniers tentent de se regrouper et limitent les dégâts en partageant l’illustre ganadería en quatre parts seulement. Parts inégales, puisque dépendant du nombre d’héritiers intéressés dans l’affaire. Une de ces quatre parts, la plus mince, fut attribuée à Rafael, Mari Cruz, Luis, Felipe et Juan. Menés par Rafael sous la dénomination de « Ganadería de Rehuelga », les cárdenos partent en direction de la province de Cadix, non loin de Medina Sidonia.
Là, Rafael entreprend un important travail de sélection, privilégiant la caste et le toro en type. Les débuts sont prometteurs, faisant quelques belles étincelles à Madrid et Saragosse. Cependant une camada courte ralentit sa progression. Il faudra être patient pour voir éclore cette devise mais point d’inquiétude, de la patiente, Rafel ne semble pas en manquer.